Pour ou contre les compléments alimentaires ?

Parler d’alimentation fascine, passionne, énerve, fâche… Les réactions sont viscérales, ce qui est bien naturel pour un sujet qui touche aux intestins… Les compléments alimentaires font également jaser.

Alors, pour ou contre les compléments alimentaires ? Légende urbaine ? Nouveau besoin illusoire créé par un marketing vorace ? Réelle alternative à une chasse infructueuse aux nutriments ? Vrai faux espoir aux maux quotidiens et une vitalité qui nous fait souvent défaut ?..

Je m’appelle Julie Clément, née à Lille en 1979, et praticienne de Shiatsu. Ni médecin, ni diététicienne, ni pharmacien, ni biologiste, ni même cordon bleu. Je me renseigne sur tout ce que j’ingère depuis une dizaine d’années, à titre d’abord personnel et maintenant aussi professionnel, depuis que j’ai commencé à prendre soin de moi, depuis que je suis tombée malade de mal me nourrir.

Ce fût un parcours passionnant, parfois déroutant, une traversée de la jungle aux informations, depuis la redécouverte des modes de nutrition traditionnels et empiriques, jusqu’aux recherches scientifiques modernes chiffrées et basées sur l’observation moléculaire. La nutrition est un domaine où il y a encore beaucoup à découvrir, et sujet à beaucoup d’interprétations. Et comme à chaque fois qu’on touche à la nourriture on touche aussi à de l’émotionnel, chacun entend bien seulement ce qu’il est prêt à entendre…

Je suis passée d’un rapport à la nourriture basé à 99% sur le plaisir et la fugue sensoriels, à une réflexion journalière sur la valeur de ce que je mets dans mon corps, comment je l’y introduis, et quel effet il aura sur ma forme et mon moral, à court, moyen et long terme.

Je ne prétends pas avoir de solution miracle, mais j’ai pu constater ceci :

  1. un bon régime alimentaire est d’abord un régime qui vous convient : le végétarianisme ne convient pas à tout le monde, de même que le véganisme, le sans gluten, la régime Paléo… Nos choix alimentaires s’adaptent à nos besoins, notre environnement, notre budget, nos envies, notre histoire… On a le droit d’expérimenter, et d’avoir plusieurs vies dans une vie.
  2. La nourriture détermine très clairement notre état de santé physique, la qualité de notre transit, la souplesse de nos muscles, etc… et notre moral. Il influe donc sur nos prises de décision, la gestion de nos émotions et de tous les évènements que nous rencontrons dans la journée, la qualité de notre sommeil, notre capacité d’écoute, etc
  3. Ce qui peut nous sauver un jour peut nous détruire le lendemain : les habitudes ont leurs limites, et rien n’est bon ou mauvais en soi, tout est question de terrain et de moment. Peut-être que ça vous a convenu d’être végétarien pendant 20 ans, peut-être qu’aujourd’hui vous avez besoin de passer à autre chose. Peut-être avez-vous mangé de la viande tous les jours depuis que vous êtes nés, peut-être est-il intéressant que vous testiez autre chose. Peut-être buvez-vous tous les matins du jus de citron tiède depuis 35 ans, peut-être pouvez-vous arrêter 10 jours et simplement observer ce qu’il se passe. Peut-être que ce qui vous convient à vous ne convient pas à votre voisin. Expérimentons !
  4. La nourriture industrielle est une nourriture morte : ceux d’entre nous nés dans la seconde moitié du XXè siècle ont pour la majorité grandis entourés de boîtes de conserve, de plats préparés, et de beaucoup de sucre. Cette façon de se nourrir est certes pratique, mais appauvrit notre patrimoine nutritionnel et détruit l’environnement. À cette époque on faisait la chasse aux bactéries, et nous avons détruit notre flore, les « bonnes » bactéries comme les « mauvaises ». La stérilisation a ses limites aussi, et il est temps de réintroduire du vivant dans nos assiettes : du cru (et pas des végétaux lavés au chlore qui tue tout !), du lacto-fermenté, du vrai yaourt, etc
  5. Nous avons besoin de bon gras, c’est-à-dire de rations quotidiennes de bonnes huiles végétales crues. Cuire au gras n’est certainement pas toujours une bonne idée, en rajouter dans votre assiette en est une excellente. Huile de sésame, colza, olive, noix… toujours première pression à froid, ça vous le savez déjà ! Ça concerne aussi la noisette de bon beurre (bio, lait cru) à laisser fondre sur vos épinards… Pour la cuisson, je choisis des graisses animales type saindoux ou de l’huile de coco, plus stable à la cuisson que l’huile d’olive. Le bon gras chasse le mauvais gras dit-on, et est indispensable au bon fonctionnement du cerveau.
  6. Nous n’avons pas besoin de sucre : je parle ici pour simplifier du sucre blanc, c’est-à-dire raffiné, que l’on trouve dans quasi tous les produits préparés de l’industrie agroalimentaire, car c’est un exhausteur de goût et un addictif très puissant. On le considère aujourd’hui comme une drogue dure, au même titre que l’héroïne. C’est un énorme problème de santé public, encore trop peu médiatisé. Il déminéralise le corps – c’est-à-dire rend les os poreux, comme une carie -, affaiblit le système immunitaire et nerveux, agit sur notre système hormonal… Vous trouverez abondance de documents  sur ce sujet sur internet. Si votre enfant ne sait pas se tenir ou que vous faîtes régulièrement des crises d’angoisse par exemple, interrogez-vous sur votre consommation de sucre. Et comme pour toute cure de désintoxication, il est nécessaire d’y aller par étapes et d’être bien accompagné, par un naturopathe par exemple. En attendant, ARRÊTONS DE SUITE LE SUCRE BLANC ! Préférez au moins un temps du sucre brun, rapadura, sirop de riz, sirop d’agave, etc
  7. Mangeons local et de saison : c’est laisser le corps évoluer dans une énergie qu’il reconnaît, dans lequel il se sent à sa place, c’est suivre le rythme de la vie… Tout comme pour apprécier le jour nous devons respecter la nuit, profitons des caractéristiques de chaque saison. Manger des tomates en hiver, produites en Espagne alors que vous habitez Oslo, n’a pas de sens d’un point de vue énergétique. De la même façon, adaptons nos modes de cuisson, type d’aliments et quantités, au temps qu’il fait, tout comme quand il neige on sort sa doudoune.
  8. Les compléments alimentaires ne remplacent pas un régime alimentaire sain : ce sont, par définition, des compléments, conçus pour vous assister à court ou à long terme, afin d’atteindre vos objectifs de santé. À vous de définir vos propres objectifs, et de chercher la solution qui vous convient le mieux. On sait qu’une bonne assimilation des vitamines et minéraux se fait de manière optimale avec les aliments à l’état naturel, c’est-à-dire avec de la nourriture vivante, crue ou transformée avec des modes de cuisson douce, le Vitaliseur de Marion Kaplan par exemple. Choisissez donc des compléments alimentaires qui remplissent cette condition, c’est-à-dire dont les procédés d’élaboration respectent et maintiennent les qualités des nutriments dans leur état naturel. MŌDERE est une excellent choix.
  9. J’ai constaté, à travers mes recherches documentaires, que les hommes ont toujours cherché à complémenter leurs rations journalières de nourriture : en rajoutant du sel de qualité, en prenant une cuillerée à café d’huile de foie de morue par jour, en ingérant des abats très riches en nutriments, en buvant du (vrai) yaourt, du kephir, du kombucha, en ajoutant des condiments à leur assiette telle que choucroute et autres aliments lacto-fermentés, des huiles végétales crues… Sans cela, les carences apparaissent pour diverses raisons : soit le corps ne reçoit pas un nutriment qu’il est incapable de synthétiser tout seul, soit il n’a pas le nutriment qui lui permet d’en assimiler un autre. Les versions – de qualité – de compléments alimentaires modernes sont là pour apporter ce qu’on ne retrouve plus actuellement dans la nourriture et pour soutenir les organes émonctoires afin de mieux évacuer les déchets qu’il ingère, souvent malgré lui en évoluant dans un environnement toxique, et qui sont bien plus importants dans le monde actuel que dans celui de nos grands-parents. Pollution environnementale, traitements agricoles, toxicité des produits de soin personnels, etc. Ceci inclut les déchets stockés depuis des décennies dans nos corps, en fait dans nos cellules graisseuses, et souvent responsables de malaises chroniques.
  10. Votre histoire dans toute sa complexité se trouve dans chaque cellule de votre corps : il se peut, qu’à la suite d’une opération chirurgicale, d’un trauma, d’une prise en charge après votre naissance un peu trop médicalisée par exemple, votre corps se retrouve incapable d’accomplir certaines actions au niveau moléculaire, que sa flore bactériologique soit si appauvrie que vous soyez affaibli à chaque changement de saison, que vous ayez développé des infections à répétitions, etc. Même si l’alimentation reste et restera toujours LA CLÉ de la santé, les compléments alimentaires sont une aide très précieuse afin d’assister le corps sur le chemin de la vitalité, et le temps d’asseoir un mode de vie plus sain. Et soyons honnête, ça peut prendre plusieurs années. Nous avons le choix entre nous rendre dépendants des médicaments et machines qui vont accomplir artificiellement les tâches que notre corps ne peut plus accomplir, c’est-à-dire nous rendre dépendant d’un système entretenant la maladie ; soit donner à notre corps ce dont il a besoin pour retrouver la capacité d’accomplir ces tâches lui-même, c’est-à-dire retrouver son autonomie.
  11. De la même façon, il se peut que, même si vous mangez à majorité bio, la terre de laquelle votre nourriture est issue peut être si appauvrie qu’elle ne fournit plus assez de nutriments pour couvrir vos besoins journaliers. J’ai choisi de me fournir en végétaux chez des agriculteurs locaux qui respectent la terre, et je sais que celle-ci peut retrouver la vitalité, tout comme nous. La terre semble morte à certains endroits, mais avec des soins et de la patience, elle se réveille. Cela prendra du temps, certainement quelques décennies, car détruire prend moins de temps que construire. Nous y arriverons, car nous n’avons pas le choix pour notre survie. D’ici là, il est nécessaire de préserver notre capital et de compléter notre alimentation avec des nutriments de qualité, même sous forme de gélule. La terre s’en sortira, elle renaîtra. L’avenir de l’homme et son développement harmonieux au sein de la planète est plus incertain.
  12. Un des grands challenges de cette première moitié du XXIè siècle consiste à transformer radicalement notre relation à la terre et à l’environnement et à adopter des modes agricoles respectueux des sols, de manière à d’abord arrêter de l’appauvrir et de la tuer, puis à la laisser naturellement se guérir, reprendre des formes et la place qu’elle mérite parmi nous, ainsi qu’à retrouver une activité biologique dynamique et saine. Alors, nous pourrons (éventuellement) nous passer de compléments alimentaires sous forme de gélules ou de poudre. D’une certaine façon, lorsque nous soignons la terre malade, nous lui donnons un temps aussi des compléments alimentaires, en réintégrant dans son terrain ce qui lui manque afin qu’elle retrouve la pleine santé, de quoi se développer, en même temps que nous la mettons au repos.

Mon choix en termes de compléments alimentaires s’est arrêté à MŌDERE : c’est ce que j’ai trouvé de plus efficace, simple d’application et intéressant en terme de qualité et prix.

Leur objectif est de faire en sorte que notre corps fonctionne aussi bien que possible et de nous aider à vous sentir bien aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Attention, suite à des études scientifiques, certains compléments ont été jugées inefficaces, voire toxiques. RENSEIGNEZ-VOUS, sur internet, auprès de professionnels, de vos proches… Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain !

Quelque soit votre choix de compagnie, marque ou label, FAÎTES-VOUS CONSEILLER ! Nous vous félicitons d’avoir pris la décision de prendre radicalement soin de vous, il est cependant nécessaire de bien vous entourer et d’y aller par étapes… Rome ne s’est pas faîte en un jour !

J’ai constaté chez moi, chez mes proches, chez mes clients et d’autres particuliers, des résultats très prometteurs et une nette amélioration de la vitalité globale, un meilleur sommeil, une meilleure résistance aux microbes, moins de fringales et une meilleure gestion du poids, moins de changements d’humeur, un meilleur moral, moins de crampes musculaires, une amélioration des problèmes d’allergies, de digestion et de transit, une meilleure qualité de la peau, des ongles, des cheveux… 

Je suis heureuse de vous guider à travers le choix de produits et les ateliers, présentations et séminaires que nous proposons. Nous vous offrons ici l’opportunité d’expérimenter la dynamique et le mode de vie que nous cultivons. Vous n’en serez que plus VOUS-MÊME !

Offrez-vous la liberté d’essayer et contactez-nous afin d’organiser une présentation gratuite chez nous ou chez vous… Vous êtes les bienvenus.

Tous droits réservés – Julie Clément Shiatsu / Chadorlote – 2016

Une réflexion sur “Pour ou contre les compléments alimentaires ?

Laisser un commentaire